#réforme institutionnelle
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azulpressagadir · 10 days ago
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Diaspora marocaine : réformes institutionnelles et défis associatifs
Abderrafie Hamdi// Les réseaux sociaux se sont enflammés à la suite du discours prononcé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le 6 novembre 2024, à l’occasion du 49ᵉ anniversaire de la Marche Verte. Ce discours a consacré une partie importante au cadre institutionnel dédié à la diaspora marocaine résidant à l’étranger. La communauté marocaine à l’étranger a accueilli avec enthousiasme les…
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malibuzz · 2 months ago
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SE Colonel Abdoulaye Maiga : Le Chantre de la Souveraineté Africaine à l'ONU
    Dans un contexte global marqué par l’incertitude La voix du Mali s’élève comme un phare d’espoir et de souveraineté. À l’occasion du débat général de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, Son Excellence Abdoulaye Maiga, Vice-Premier Ministre du Mali, a porté un message de lutte, de dignité et d’indépendance pour les peuples d’Afrique. En abordant le thème « Ne laisser…
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dooareyastudy · 5 months ago
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Pardon, est-ce que tu pourras nous faire un petit retour voire résumé du programme front populaire ? Mercii 😘
Sur le volet institutionnel, on trouve la proposition de mettre fin à la Vème République (!) en convoquant une assemblée citoyenne pour élaborer une nouvelle constitution (la juriste en moi est septique sur ce que ça peut donner en ce qui concerne la répartition des pouvoirs et les questions essentiellement institutionnelles cela dit).
Sur le volet écologique, on retrouve l'idée de rétablir l'ISF et de l'utiliser en matière d'environnement (il y a de nombreuses autres mesures fiscales dans le programme, notamment pour taxer les superprofits dans la grande distribution), la volonté d'un contrôle public accru des énergies ou encore des mesures plus précises, notamment en ce qui concerne l'aménagement (rénovation des bâtiments publics, isolation des logements...).
Une autre proposition que je trouve importante, c'est la création d'un fond d'indemnisation contre les pollutions (ou les conséquences des pollutions sur les populations, j'imagine), pour l'instant destinés spécifiquement aux populations d'outre-mer (mais qui aurait un potentiel de développement très important). Une autre proposition qui a du potentiel si elle est bien réalisée : la conditionnalité de certaines aides aux entreprises, en fonction du respect de critères environnementaux et sociales (notamment l'égalité hommes / femmes).
Sur le plan social, les mesures défendues sont nombreuses : nouveaux droits pour les travailleurs (un congé menstruel obligatoire par exemple), défense et revalorisation de certaines prestations sociales (APL, abrogation de la réforme des retraites et du RSA, abandon de la réforme de l'assurance chômage...), revalorisation du SMIC...
On garde en tête que Bruno Le Maire a dit aujourd'hui qu'il fallait "crever le plafond de verre des allégements de charges sociales" : au-delà du fait qu'il n'a pas bien compris ce que c'est un plafond de verre, il a du oublier que ce sont les citoyens et non les entreprises qui votent. Les fameuses "charges sociales", pour rappel, elles financent notamment notre assurance maladie et nos retraites.
Il y aussi de nombreuses propositions destinées à renforcer les services publics, notamment pour les zones qui en manquent actuellement. On peut notamment retenir la proposition d'encadrer la liberté d'installation des médecins libéraux.
Ça ne fait pas le tour du programme bien sûr, notamment car je laisse de côté le volet géopolitique. Si vous voulez plus de précision, il faudra faire comme tout le temps et lire la presse qui en parle !
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ce-sac-contient · 2 years ago
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Ils oseront, vous verrez
Obstiné comme une bête de somme, le gouvernement, avec son semblant de majorité, poursuit néanmoins son effort et psalmodie ses éléments de langage : solidarité, progrès, justice. Les chiffres ne mentent pas. [...] 
Ce comportement de rouleau compresseur n’est pourtant pas si surprenant. [...] Le recours systématique à la ruse, l’absence de vergogne, le savoir-faire techno. Tout le temps que va durer cette mascarade, on sentira à la manœuvre des ingénieurs de la chose publique aussi bien instruits que peu scrupuleux. Ceux-ci feront jouer tous les rouages, administratifs, légaux et institutionnels. Leur maîtrise s’illustrera comme jamais dans ces quelques semaines de manigances historiques. [...] 
Pourtant, cette obstination gouvernementale ne va pas sans une drôle d’impression de contrecœur. [...] A les voir, on dirait qu’ils montent au front une baïonnette dans les reins. La conviction n’y est pas. Les fils du marionnettiste ruinent l’illusion. [...] Alors, ce pouvoir si mal élu, vacillant de naissance et mal aimé dès le départ, emprunte la seule voie qui lui semble praticable : le 49.3.[...] 
C’est à partir de là que la chronique prend une ampleur presque tragique. Car il n’est plus seulement question des retraites, mais de la démocratie. On ne conteste plus seulement une politique, mais un règne. Le récit, à cet instant, doit changer de ton, car si tout demeure légal, plus rien n’est juste et sous ses dehors réguliers, le pouvoir vient brutalement de changer de physionomie. Sous l’effet du scandale énorme que constitue ce passage en force, le drap qui recouvrait sa mécanique intime est tombé. Sa nature est à nu, le vernis a pété, la brute est sous nos yeux. On a compris qu’elle est en mission, murée dans ses certitudes. Elle ne fera pas de cadeaux.  [...]
Mais le plus fou est encore à venir. Le Président, manifestement impatienté par ce peuple qui s’obstine à ne pas être à la hauteur, le tance, injurie les manifestants, accuse les syndicats. Il s’invente dépositaire exclusif de toute légitimité. On croit rêver. La surdité est à son comble, l’aveuglement radical. L’exécutif fait bip-bip sur son orbite lointaine. Pour finir, dans une allocution lunaire de plus, digne d’un Skype de PDG de multinationale, le même président admet que sa réforme n’est pas acceptée et passe sans transition au nouvel agenda du Comité Exécutif Central : 100 jours pour réparer la France tous azimuts. Le déluge d’annonces va suivre, souvent recyclées. L’idée est simple : saturer les canaux et les citoyens, forcer le pas, imprimer le rythme, c’est la méthode Sarkozy revisitée stroboscope. Rendez-vous le 14 juillet. D’ici là, de toute façon, on aura eu Roland-Garros, le Tour de France et les incendies. Les Français, Inch Allah, seront passés à autre chose.  [...]
Depuis le 49.3, la démocratie française a une gueule de dystopie. La République bourgeoise telle que sous Guizot (mais désormais entrepreneuriale et techno) est ressortie de l’abîme comme une Atlantide, gouvernant à son idée, à coups de décrets, juchée sur son quart de peuple, infirme comme jadis, avec pour béquilles sa police guère subtile et l’étai résolu des grands intérêts.  [...]
Et nous voilà nous, incrédules, au bord du gouffre climatique, matraqués et tenus, aux mains de maîtres qui nous font cette drôle de guerre, avec des institutions ébranlées, des juridictions d’exception entrées dans le droit commun et une extrême droite aux portes de l’Elysée. Car le pire est là sans doute. Dans quatre ans, la colère libérée par cette forfaiture légale s’exprimera avec une amplitude qui fera passer les black blocks pour d’aimables ambianceurs d’Ibiza. Et ce pouvoir qui a tant fait pour que le pire advienne ira alors dire que la faute revient à ses adversaires, tous populistes, sapeurs de démocratie, précurseurs du fascisme. Ils oseront, vous verrez.  [...]
Pour un écrivain ou une écrivaine qui s’intéresse à son temps, c’est un moment d’effarement et de bascule. Le réel est devenu si caricatural qu’on ne sait plus par quel bout le prendre. Chaque jour apporte son lot d’aberrations ; il suffit de lire Pif, Playboy ou Têtu. Face au renversement du langage, à la falsification galopante, à l’énorme besoin de mots qui se fait jour pour décrire l’époque et réduire l’hégémonie de sa bêtise particulière, on se demande quoi faire, quels moyens employer.  [...]
Ce que nous pouvons faire, c’est ça : raconter. Que nos récits infusent. Ils feront un jour le ridicule de ceux qui aujourd’hui se prennent pour des hommes d’Etat et ne sont souvent que les managers de l’entreprise France. Que nos phrases fassent honte dès maintenant aux magouilleurs de légitimité, aux laquais perpétuels, à la brutalité qui brise nos révoltes. Que nos textes interdisent le passage du temps et forcent sans cesse à revenir sur ce qui nous a été volé. La pilule amère ne doit pas passer. Surtout, nos mots peuvent dénuder n’importe quel roi, fût-ce a posteriori. Et d’ici là, ils donneront une voix à celles et ceux qui n’en ont pas. Le roman de ce pays s’écrit aujourd’hui à l’encre de leur volonté piétinée.
Retraites : le roman national est à nous, par Nicolas Mathieu (Le Libé des écrivains, Libération, 20 avril 2023)
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basilepesso · 2 years ago
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Oui. Les remaniements ministériels ou les dissolutions d'Assemblée qui mènent de collabs' à collabs' n'ont d'autre "intérêt" que de faire perdre du temps et de l'argent à tout le monde. >>> "Si la motion passait, certes cela faisait tomber Borne et son équipe de bras cassés mais elles auraient été remplacées par d'autres robots macronistes immédiatement. Nous aurions été satisfaits de cette chute mais pour quelques semaines seulement, le temps qu'un remaniement nous impose Gabriel Attal à Matignon par exemple. Le rejet de cette motion ouvre des perspectives beaucoup plus intéressantes. Maintenant que le parcours institutionnel est terminé, il reste la possibilité que la rue prenne le relai. Et cette perspective intéresse davantage les gens qui, comme nous, souhaitent beaucoup plus énergiquement la chute de Macron que celle de Borne ; la fin du régime plutôt que celle d'une vulgaire réforme des retraites. Peut-être qu'il ne se passera rien, mais si la motion passait il était absolument certain que rien ne se passerait. Alors entre un scénario qui a 0% de chances de se réaliser et un autre qui a 1%, je prends le deuxième."
Jonathan Sturel (Aussi sur Fb, 23 mars 2 023)
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actu-juridique · 20 hours ago
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Feuille de route du « Groupe des Douze »
https://justifiable.fr/?p=1265 https://justifiable.fr/?p=1265 #des #Douze #Feuille #Groupe #route Présentation   Créé à l’initiative de la ministre allemande chargée des Affaires européennes et du climat Anna Lührmann er de la secrétaire d’Etat française, Laurence Boone, le « groupe des 12 » a été lancé afin de formuler des recommandations sur les réformes institutionnelles de l’Union européenne. Composé de 12 experts des deux Etats, il s’est donné comme objectif de réfléchir sur les moyens pour renforcer la capacité institutionnelle d’action de l’Union, protéger ses valeurs fondamentales et rapprocher l’Union européenne de ses citoyens. Gaëlle Marti et Franz Mayer, experts du « groupe des 12 », nous livrent leur expérience de ce travail collectif et leurs réflexions sur l’avenir et le devenir de l’Union européenne.   Programme   16h30 : Interventions de Gaëlle Marti, Professeure de droit public – Université Jean Moulin Lyon 3 / CEEet Franz Mayer, Professeur de droit constitutionnel et européen à l’Université de Bielefeld, Allemagne 18h00 : Fin     Inscription en présentiel obligatoire (gratuite) : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSe8AxKkk7xeAcw4taDszm3Sv49T46YIaI-4fOwFiuNuKp5qMA/viewform Conférence organisée par le Chaire EUBioethics, IRENEE, IFG, Université de lorraine sous la direction de Maria Fartunova-Michel, Titulaire de la Chaire Jean Monnet EUBioethics, Maître de conférences HDR – Université de Lorraine/IRENEE Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
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oelnet · 15 days ago
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Togo – Jean Kissi : “Celui qui est mis en prison pour son opinion, on l’appelle comment ?”
Home 2024 November Togo – Jean Kissi : “Celui qui est mis en prison pour son opinion, on l’appelle comment ?” Au Togo, la crise politique togolaise s’enlise avec une réforme constitutionnelle décriée, qualifiée de “monstre institutionnel” par Jean Kissi, 3e porte-parole du Front Touche Pas à Ma Constitution. Invité sur Radio Victoire FM, il a dénoncé une transformation des institutions au profit…
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gaboninfoslive · 1 month ago
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"Oui" au Référendum Constitutionnel au Gabon : Pour son intangibilité et pour que la Fonction Présidentielle soit l'exclusivité d'un Gabonais de souche
Le Gabon se trouve à un tournant crucial de son histoire politique avec la mise en avant d’un référendum constitutionnel dont les implications sont profondes pour l’avenir de la nation. Ce projet de révision de la Constitution vise à introduire des réformes qui répondent à des préoccupations essentielles, notamment la préservation de l’identité nationale, la stabilité institutionnelle et la…
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metroactu · 1 month ago
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Présentation du référentiel "Sénégal 2050" : Le Président mise sur la jeunesse et les réformes institutionnelles
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snap221sn · 2 months ago
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« La loi ne permet pas à Sonko d’usurper mes prérogatives » (Bassirou Diomaye Faye)
Au terme de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a, lors d’une interview accordée à la chaîne de télévision Al Jazeera, abordé plusieurs sujets majeurs, y compris la gouvernance, les réformes institutionnelles et la situation politique au Sénégal, notamment le rôle d’Ousmane Sonko dans la gestion […]
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mohamedlaminekaba · 5 months ago
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Comment sortir la Guinée de la gesticulation institutionnelle ?
Cet acte 2 est la suite logique de l’acte 1 paru le 20 avril 2024. Pour sortir la Guinée de la gesticulation institutionnelle, il est important de mettre en œuvre des réformes profondes et durables qui touchent les fondements mêmes de l’État et de la société. Notre analyse matricielle porte sur quelques pistes de réflexion : 1. Réforme du système politique Il est essentiel de mettre en place…
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terrecorse · 5 months ago
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Le 7 juillet aucune voix supplémentaire ne doit se porter sur les candidats Rn
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Déclaration régionale du PCF
Les résultats du premier tour des élections législatives, avec une extrême droite à un niveau jamais égalé, témoignent de la profondeur de la crise qui mine partout en France les territoires et la République. Au second tour, le 7 juillet, il sera possible encore de faire prévaloir les valeurs républicaines de liberté d’égalité et de fraternité. Cela passe par une politique qui s'oppose au néolibéralisme du capitalisme financier et qui réponde concrètement aux vraies questions à commencer par le pouvoir d'achat.
En annonçant le retrait de la réforme de l’assurance chômage ce dimanche soir en pleine débâcle électorale le gouvernement Attal Macron fait la démonstration du cynisme avec, lequel pendant sept ans, a été mise en œuvre une politique antisociale rejetée désormais avec fracas dans tout le pays. La Corse n’y échappe pas mais ici ce rejet est double en incluant celui de la réforme institutionnelle permanente. Face à l’urgence sociale l’autonomie n’a pas été, à juste raison, considérée comme la bonne réponse aux préoccupations de pouvoir d’achat, de cherté de la vie, de bas salaires, de santé, de logement, d’emploi et de besoin de services publics.
Les communistes appellent ainsi tous les progressistes à contribuer au-delà de ce scrutin au développement de la démarche du Nouveau Front populaire pour construire durablement en Corse comme dans tout le pays le rassemblement de gauche en faveur d’une politique prenant en compte ces préoccupations et ouvrant un chemin d’espoir.
Le 7 juillet dans les circonscriptions ou le Rn est qualifié aucune voix supplémentaire ne doit se porter sur les candidats d’extrême droite au programme anti social et xénophobe.
Les candidats qui leur sont opposés ont ainsi la grande responsabilité de porter les valeurs émancipatrices de la République la justice sociale, la laïcité, la démocratie sociale, écologique et culturelle pour rassembler tous les démocrates et écarter le spectre d’un gouvernement "lepenistociottiste" ultra-libéral et xénophobe qui ne tardera pas à réduire les libertés individuelles et collectives.
C’est le sens de l’appel que lance le PCF en Corse à voter le 7 juillet pour faire barrage dans les quatre circonscriptions de Corse à l’extrême droite avec la même détermination que cela fut fait dans la Résistance et le 9 septembre 1943.
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thierrylidolff · 6 months ago
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LES RÉFORMES INSTITUTIONNELLES PROPOSÉES : DÉCOUPAGE DES RÉGIONS, CONSEILLER TERRITORIAL, VI ème RÉPUBLIQUE
LA 6ème RÉPUBLIQUE, DE JEAN-LUC MÉLENCHON À NOUVEAU PROPOSÉE La 6e République déjà proposée par le patron de la NUPES en 2022 est à nouveau proposée en 2023 par le NFP stipule une refonte des institutions politiques françaises. L’objectif principal de ce changement est de mettre fin aux «monarques présidentiels», comme décrit par le candidat de LFI, et d’augmenter l’implication des citoyens…
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chinemagazine · 6 months ago
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Xi Jinping veut approfondir les réformes pour s'attaquer aux obstacles institutionnels
"La Chine doit prendre des mesures résolues pour éliminer les barrières idéologiques et institutionnelles", selon Xi Jinping
La Chine approfondira les réformes pour s’attaquer aux obstacles systémiques et institutionnels, a déclaré le président Xi Jinping, le 23 mai, lors d’un symposium à Jinan, dans la province du Shandong, auquel participaient des représentants du monde des affaires et du monde universitaire. “La réforme est le moteur du développement”, a déclaré Xi jinping, ajoutant que “pour approfondir davantage…
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vertus-fruits-et-legumes · 9 months ago
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Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 : Une Transition Politique Imminente. La scène politique sénégalaise est en ébullition alors que la date butoir du 2 avril 2024 pour la fin du mandat présidentiel approche à grands pas. Cette échéance marque un tournant crucial dans l'histoire politique du Sénégal, sur fond de controverses et de crises institutionnelles qui ont secoué le pays ces derniers mois. Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 : Une Transition Politique Imminente Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 Une Transition Politique Imminente Initialement prévue pour le 25 février 2024, l'élection présidentielle a été brusquement annulée par un décret présidentiel émis par Macky Sall le 3 février 2024. Cette décision spectaculaire a été motivée par des accusations de corruption visant deux des sept juges du Conseil Constitutionnel, alléguant des liens avec Amadou Ba, candidat soutenu par le président en exercice, Macky Sall. →A lire aussi Ce qu'il faut savoir / Report de la présidentielle au Sénégal : les députés commencent à débattre d'un texte pour repousser l'élection Les révélations de corruption au sein du Conseil Constitutionnel ont plongé le pays dans une crise politique sans précédent, remettant en question la crédibilité du processus électoral et la légitimité des institutions démocratiques du pays. Les manifestations de mécontentement populaire ont éclaté à travers le pays, exprimant la frustration et la colère du peuple sénégalais face à ces scandales politiques. Spéculations et conjectures vont bon train Infographie des lois d'amnistie au Sénégal depuis 1960 Dans ce contexte de turbulences politiques, la fin du mandat présidentiel fixée au 2 avril 2024 ouvre la voie à une période de transition politique hautement incertaine. Les spéculations et les conjectures vont bon train quant à la direction que prendra le pays dans les semaines et les mois à venir. La classe politique sénégalaise est appelée à relever plusieurs défis majeurs dans cette période critique. Tout d'abord, il est impératif de restaurer la confiance du peuple dans les institutions démocratiques du pays en garantissant la transparence et l'intégrité du processus électoral. Saisi pour avis sur la date et les candidatures - Le Conseil déchire le consensus de Diamniadio →A lire aussi REPORTAGE. « Macky Sall, le dictateur ! », scandent les manifestants sénégalais après l'annonce du report sine die de l'élection présidentielle Des réformes institutionnelles en profondeur seront nécessaires pour renforcer les mécanismes de lutte contre la corruption et assurer l'indépendance de la justice. De plus, la classe politique devra faire preuve de responsabilité et de leadership pour éviter toute escalade de la violence et de l'instabilité politique pendant cette transition délicate. La stabilité du Sénégal, longtemps considéré comme un modèle de démocratie en Afrique de l'Ouest, dépend de la capacité des dirigeants politiques à surmonter les divisions et à œuvrer ensemble pour le bien-être et la prospérité de la nation. Soutien à un processus démocratique pacifique et transparent Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 Une Transition Politique Imminente 1 Dans ce climat d'incertitude et d'appréhension, la communauté internationale surveille de près l'évolution de la situation politique au Sénégal. Les partenaires régionaux et internationaux du pays ont exprimé leur soutien à un processus démocratique pacifique et transparent, soulignant l'importance de préserver la stabilité et la démocratie dans la région. En conclusion, la fin du mandat présidentiel fixée au 2 avril 2024 marque le début d'une période de transition politique critique pour le Sénégal. Les Députés examinent le Projet de Loi d'Amnistie →A lire aussi Situation tendue à Dakar avant un vote de l’Assemblée nationale : Présidentielle 2024 reportée au Sénégal Alors que le pays se prépare à un nouveau chapitre de son histoire politique,
il est impératif que les dirigeants politiques et la société civile s'unissent pour surmonter les défis et relever les aspirations démocratiques du peuple sénégalais. L'avenir du Sénégal en tant que nation démocratique et prospère dépend de la capacité de ses dirigeants à répondre aux aspirations et aux besoins de ses citoyens, et à garantir un avenir meilleur pour les générations à venir.
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sports-100-buzz · 9 months ago
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Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 : Une Transition Politique Imminente. La scène politique sénégalaise est en ébullition alors que la date butoir du 2 avril 2024 pour la fin du mandat présidentiel approche à grands pas. Cette échéance marque un tournant crucial dans l'histoire politique du Sénégal, sur fond de controverses et de crises institutionnelles qui ont secoué le pays ces derniers mois. Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 : Une Transition Politique Imminente Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 Une Transition Politique Imminente Initialement prévue pour le 25 février 2024, l'élection présidentielle a été brusquement annulée par un décret présidentiel émis par Macky Sall le 3 février 2024. Cette décision spectaculaire a été motivée par des accusations de corruption visant deux des sept juges du Conseil Constitutionnel, alléguant des liens avec Amadou Ba, candidat soutenu par le président en exercice, Macky Sall. →A lire aussi Ce qu'il faut savoir / Report de la présidentielle au Sénégal : les députés commencent à débattre d'un texte pour repousser l'élection Les révélations de corruption au sein du Conseil Constitutionnel ont plongé le pays dans une crise politique sans précédent, remettant en question la crédibilité du processus électoral et la légitimité des institutions démocratiques du pays. Les manifestations de mécontentement populaire ont éclaté à travers le pays, exprimant la frustration et la colère du peuple sénégalais face à ces scandales politiques. Spéculations et conjectures vont bon train Infographie des lois d'amnistie au Sénégal depuis 1960 Dans ce contexte de turbulences politiques, la fin du mandat présidentiel fixée au 2 avril 2024 ouvre la voie à une période de transition politique hautement incertaine. Les spéculations et les conjectures vont bon train quant à la direction que prendra le pays dans les semaines et les mois à venir. La classe politique sénégalaise est appelée à relever plusieurs défis majeurs dans cette période critique. Tout d'abord, il est impératif de restaurer la confiance du peuple dans les institutions démocratiques du pays en garantissant la transparence et l'intégrité du processus électoral. Saisi pour avis sur la date et les candidatures - Le Conseil déchire le consensus de Diamniadio →A lire aussi REPORTAGE. « Macky Sall, le dictateur ! », scandent les manifestants sénégalais après l'annonce du report sine die de l'élection présidentielle Des réformes institutionnelles en profondeur seront nécessaires pour renforcer les mécanismes de lutte contre la corruption et assurer l'indépendance de la justice. De plus, la classe politique devra faire preuve de responsabilité et de leadership pour éviter toute escalade de la violence et de l'instabilité politique pendant cette transition délicate. La stabilité du Sénégal, longtemps considéré comme un modèle de démocratie en Afrique de l'Ouest, dépend de la capacité des dirigeants politiques à surmonter les divisions et à œuvrer ensemble pour le bien-être et la prospérité de la nation. Soutien à un processus démocratique pacifique et transparent Fin du Mandat Présidentiel Fixée au 2 Avril 2024 Une Transition Politique Imminente 1 Dans ce climat d'incertitude et d'appréhension, la communauté internationale surveille de près l'évolution de la situation politique au Sénégal. Les partenaires régionaux et internationaux du pays ont exprimé leur soutien à un processus démocratique pacifique et transparent, soulignant l'importance de préserver la stabilité et la démocratie dans la région. En conclusion, la fin du mandat présidentiel fixée au 2 avril 2024 marque le début d'une période de transition politique critique pour le Sénégal. Les Députés examinent le Projet de Loi d'Amnistie →A lire aussi Situation tendue à Dakar avant un vote de l’Assemblée nationale : Présidentielle 2024 reportée au Sénégal Alors que le pays se prépare à un nouveau chapitre de son histoire politique,
il est impératif que les dirigeants politiques et la société civile s'unissent pour surmonter les défis et relever les aspirations démocratiques du peuple sénégalais. L'avenir du Sénégal en tant que nation démocratique et prospère dépend de la capacité de ses dirigeants à répondre aux aspirations et aux besoins de ses citoyens, et à garantir un avenir meilleur pour les générations à venir.
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